Le Verger

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Le Verger
Le Verger
Église Saint-Pierre du Verger.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Sylvie Galic
2020-2026
Code postal 35160
Code commune 35351
Démographie
Gentilé Vergéens, Vergéennes
Population
municipale
1 419 hab. (2021 en diminution de 1,8 % par rapport à 2015en diminution de 1,8 % par rapport à 2015)
Densité 204 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 13″ nord, 1° 55′ 55″ ouest
Altitude 75 m
Min. 29 m
Max. 92 m
Superficie 6,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Rheu
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.mairie-le-verger.fr

Le Verger est une commune française de Rennes Métropole, située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Rennes, la préfecture départementale.

La commune est limitrophe de celle de Mordelles depuis 2012.

Carte de la commune du Verger.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 696 hectares ; son altitude varie entre 23 et 92 mètres.

Le point le plus bas se situe à 23 mètres d’altitude, à l'est de la commune au confluent du Meu et de la Chèze.

Le point le plus haut se situe au sud-ouest, aux lieux-dits le Perray et le Bignon.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le principal cours d’eau est le Serein qui forme la limite nord de la commune[1]. Il n’a pas d’affluent sur la commune.

On trouve par ailleurs plusieurs affluents du Meu. Le ruisseau de Rohuel constitue la frontière sud[2] tandis que son affluent le ruisseau du Gué Saint-Laurent prend sa source au sud-ouest du bourg du Verger[3].

La commune se situe intégralement dans le bassin versant de la Vilaine et dans le sous-bassin versant du Meu.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L’axe Rennes-Lorient (route nationale 24) passe au sud de la commune. Deux routes départementales traversent le bourg, la D 240 d’est en ouest et la D 69 du nord au sud.

La commune est desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via la ligne 55 (53 les vendredis et samedis soir et 54 les dimanches et jours fériés).

Elle est également desservie par la ligne 1 du réseau drégional BreizhGo.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Rheu à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 720,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Verger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,4 %), terres arables (26,8 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (4 %), prairies (0,3 %)[16].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont : Vergier (1582)[18], Ecclesia du Verger en 1621[19].

Toponyme formé sur le latin viridiarium désignant un « lieu abondant en arbres et en plantes, un jardin, puis plus tard un verger »[réf. nécessaire].

En gallo, le nom de la localité s’écrit Le Verjer d'après la liste publiée en 2021 par l'Institut du Galo[20]. La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Gwerzher[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Il existait une chapelle dite "Église primitive" au lieu-dit Le Pâtis, qui fut démolie vers la fin du XVe siècle à la suite d'un tremblement de terre[21].

C'est vers 1542 que plusieurs paroissiens de Talensac, habitant Le Trait du Breil, adressent une requête à l'évêque de Saint-Malo par laquelle ils sollicitent le droit de bâtir une église au village de Le Verger, moyennant la perception d'un certain nombre de taxes, dîmes et autres impôts, ainsi que la prise en charge complète du curé au frais de ses ouailles (construction d'une maison et couvert). Les paroissiens s'engagent à entretenir cette église. En 1617, le Parlement de Bretagne fut chargé d'une affaire opposant l'évêque de Saint-Malo, d'un côté, au seigneur de Le Verger et les habitants, de l'autre. Ces derniers furent condamnés à construire à leur frais un presbytère. Ainsi, en 1630, l'évêque de Saint-Malo érigea Le Verger en trêve de Talensac.

Guillaume Le Gouverneur, évêque de Saint-Malo, dont dépendait Talensac, approuva tous ces actes et érigea au commencement de 1630 Le Verger en trève de Talensac, avec le consentement du recteur de cette paroisse. Aussitôt Gilles Huchet[22], seigneur de la Bédoyère, présenta Raoul Berhault à l'évêque, qui le pourvut le de l'église du Verger, fillette de Talensac, « ecclesia du Verger, filiola matricis ecclesiœ de Talensac ».

En 1790, M. Oresve, curé du Verger, déclara que son bénéfice avait un revenu net de 252 livres [23] ; cependant c'est en 1803[24] que le territoire de Le Verger fut séparé de celui de Talensac et érigé en paroisse autonome, par démembrement de la commune de Talensac qui elle-même est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive d'Iffendic.

Le Verger se trouvait dans l’arrondissement de Montfort-sur-Meu jusqu’en 1926, date de son rattachement à l’arrondissement de Rennes.

Adhésion à Rennes Métropole[modifier | modifier le code]

Liaison territoriale entre la commune du Verger et Mordelles

En 1992, la commune rejoint le district urbain de Rennes District (auquel a succédé en 2000, la communauté d'agglomération de Rennes Métropole) dont elle est alors une exclave. Cette discontinuité territoriale posera problème par la suite[25].

Au début des années 2010, une réforme des collectivités exige une continuité territoriale au sein des intercommunalité. Le Verger est alors toujours isolé géographiquement des autres villes de Rennes Métropole, depuis son intégration en 1992, et Talensac n'a pas le souhait de rejoindre l'intercommunalité rennaise. Un accord est trouvé entre les deux villes afin de céder une partie du territoire de Talensac au Verger. Fin 2012, le préfet d’Ille-et-Vilaine valide le transfert de 51 parcelles cadastrales pour un total 9 ha 39 a 57 ca. Cette bande de 4 km de long pour 20 à 60 m de large permet de relier géographiquement Le Verger à la ville de Mordelles, même si aucune voie de circulation n'est aménagé[26],[27],[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Circonscriptions de rattachement[modifier | modifier le code]

Le Verger appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton du Rheu, créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Montfort-sur-Meu.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[29] (PS-NUPES). Sous le Second Empire, elle appartenait à la circonscription de Montfort-Redon, sous la Troisième République à la circonscription de Montfort et de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis le , la commune appartient à Rennes Métropole (anciennement Rennes District). Auparavant, Le Verger était ce qu'on appelle une commune isolée, c'est-à-dire n'appartenant à aucune intercommunalité.

Le Verger fait aussi partie du Pays de Rennes.

Institutions judiciaires[modifier | modifier le code]

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[30].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie du Verger.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 mars 1982
(décès)
Émile Tardif MRP
puis CD
Négociant produits du sol, maire honoraire (1982)
Conseiller général du canton de Montfort-sur-Meu
(1945 → 1976)
avril 1982 mars 1983 André Durand   Maire honoraire
mars 1983 juin 1995 Robert Labbé PS Maître de conférences de gestion
Chevalier du Mérite agricole
juin 1995 mars 2008 Solange Delafosse   Mère au foyer
mars 2008 mars 2014 Patrick Le Ray[31] PS Réalisateur
mars 2014 décembre 2018 Charles Marchal SE Chef d'équipe sécurité
décembre 2018 En cours
(au 25 mai 2020)
Sylvie Galic[32] SE Auxiliaire de vie scolaire retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 1 419 habitants[Note 3], en diminution de 1,8 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
440475474459503516493491480
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
486468475489519524515515542
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
513508478437427401392344357
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3853956537229151 0991 4161 4591 476
2017 2021 - - - - - - -
1 4451 419-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune ne compte aucun monuments historiques immobilier ou mobilier. Plusieurs monuments et objets sont inventoriés : 95 objets immobiliers selon la base Mérimée[37], 44 objets mobiliers selon la base Palissy[38] et 139 objets selon la base Glad, la base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne[39].

Le bâtiment le plus imposant est le château du XVIIe siècle situé au lieu-dit le Bonnay[40],[41].

Le Manoir de Bonnais

À 700 m à l'est du bourg et 100 m au sud de la route. Il possédait une chapelle. Il était entouré de larges douves et protégé par un cavalier percé de meurtrières. Une habitation plus ancienne se voit près de lui. Ses possesseurs étaient protestants, ils y élevèrent un prêche à l'époque des guerres de Religion et se faisaient inhumer sous un tumulus appelé la Motte, qui existe encore. Le manoir était aux familles Téhel, en 1441 et 1444, et Gourodi-Pommeri, au XVIIIe siècle ; puis il est passé par alliance, des familles Anger de Kernisan, aux Béhague.

A signaler la présence d'une motte féodale du XIe siècle ou XIIe siècle à proximité du château. Il est entouré de larges douves. Ses possesseurs étaient protestants, ils y élevèrent un prêche à l'époque des guerres de Religion et se faisaient inhumer sous un tumulus appelé la Motte. Propriété de la famille Téhel en 1441 et en 1444, puis à la famille Gourodi-Pommeri au XVIIIe siècle. Il est passé récemment[Quand ?] par alliance de la famille Anger de Kernisan à la famille Béhague.[réf. souhaitée]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

La Croix devant l'église Saint-Pierre.

L’église paroissiale Saint-Pierre dont la construction en moellons de schiste rouge remonte au début au XVIIe siècle[42],[43]. Elle contient les 44 objets inventoriés par la base Palissy. Dégradée par des infiltrations d'eau pluviale, elle nécessite des travaux urgents en partie financés par la Mission Patrimoine 2021 (Loto du patrimoine) de Stéphane Bern.

On compte au moins 7 croix réparties sur le territoire de la commune. Dans le centre du bourg, une croix monumentale[44],[45] se situe à proximité d’une croix de cimetière elle-même située devant l’église[46],[47]. Dans les écarts se trouvent des croix de chemin au Bignon[48],[49], au Bonnay[50],[51], à la Bouhernière[52],[53], à la Giraudais[54],[55], et au Pâtis[56],[57].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Serein (J7355000) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rohuel (J7365700) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Gué Saint-Laurent (J7366100) ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Le Verger et Le Rheu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Le Rheu-inra » (commune du Le Rheu) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Le Rheu-inra » (commune du Le Rheu) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  18. a et b [ Résultats concernant «Le Verger»] sur la base KerOfis de l’Office public de la langue bretonne.
  19. « Etymologie et Histoire de Le Verger », infobretagne (consulté le ).
  20. Institut du Galo, « Liste des Communes de Haute-Bretagne », sur institutdugalo.bzh, (consulté le ).
  21. Paul Banéat, Le département d'Ille-et-Vilaine : histoire, archéologie, monuments, Paris, Librairie Guénégaud, , 4 vol. (573, 534, 601, 608 p.), Tome IV, p. 287
  22. Gilles Huchet, écuyer, seigneur de la Bédoyère, né le 20 octobre 1600 à Campeneuc. Il obtint du roi Louis XIII, en 1643, des lettres patentes unissant tous les fiefs de la région en chatellenie, sous le nom de la Bédoyère. Après avoir été Conseiller et Garde-sel au Parlement de Bretagne il acheta en 1631 à Christophe Fouquet, parent du célèbre surintendant, une charge de procureur général, charge qui sera tenue sans interruption pendant quatre générations successives. Il décède à Rennes le 10 novembre 1662, âgé de 62 ans.
  23. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 33 ; 1 V, 29.
  24. Chanoine Guillotin de Corson, Pouillé historique de l’archevêché de Rennes, Rennes, 1880-1886.
  25. Jeux d'échelle et transformation de l'État : le gouvernement des territoires au Québec et en France, Laurence Bherer, Presses Université Laval, 1er janvier 2005, 527 pages, page 75.
  26. Arrêté portant modification de limites territoriales entre les communes de Talensac et Le Verger au recueil des actes administratifs.
  27. Alexandra BOURCIER, « Isolée, Le Verger veut rester dans Rennes Métropole », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  28. « Depuis le 1er janvier, la commune de Talensac a rapetissé… », sur rennes.maville.com (consulté le ).
  29. Elle remplace François André décédé en cours de mandat.
  30. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  31. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535,‎ , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
  32. « Sylvie Galic élue maire de Le Verger », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Liste des édifices inventoriés, base Mérimée.
  38. Liste des édifices inventoriés, base Palissy.
  39. Liste des édifices inventoriés, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  40. « Château, Le Bonnay », notice no IA35029411, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Château, Le Bonnay, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  42. « Église Saint-Pierre », notice no IA00130758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Église Saint-Pierre, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  44. Notice no IA35029429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Notice no IA35029429, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  46. Notice no IA35029428, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Notice no IA35029428, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  48. Notice no IA35029408, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. Notice no IA35029408, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  50. Notice no IA35029406, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. Notice no IA35029406, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  52. Notice no IA35029493, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. Notice no IA35029493, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  54. Notice no IA35029425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. Notice no IA35029425, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  56. Notice no IA35029407, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. Notice no IA35029407, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]